mercredi 23 décembre 2009

Noel


Voici ma carte de Noel .
Et son conte ...

Et une autre réalité qui va nous rattraper.......Hélas!
Elle concerne l'agitation du monde arabe.

dimanche 13 décembre 2009

petit dimanche tranquille


Si la guerre vous intéresse...........un petit film de 10 minutes qui décrit l'impact de la guerre sur les femmes notamment au Congo , au Liberia mais aussi en Bosnie etc. Edifiant!

Et puis LA TERRE! Tout aussi mal traitée. Une petite analyse de ce qui se passe actuellement à Copenhague. On n'est pas sortis du bois ! Mais le bois va sortir de nous.......Pas grave

vendredi 11 décembre 2009

Copenhague


Pendant que nos "experts" se pavanent à Copenhague, une réflexion s'impose. Mais on est mal outillés/informés pour avoir une opinion valable.
Heureusement, il y a des penseurs indépendants des pouvoirs en place et audacieux qui se manifestent. Edouardo Galeano est de ceux là et je suis heureuse d'avoir pu lire cet article. Un baume.

La richesse et la pauvreté....


La richesse cela se crée! En général sur le dos des autres........ Voici deux exemples de compagnies minières. Une au Québec, l'autre en Afrique. Pas tant de différences qu'on aimerait croire!

La pauvreté aussi : exemple de Jérusalem.

samedi 5 décembre 2009

Pour en revenir à la question du voile

J'y reviens. Cette question me tourmente.
Mais j'ai trouvé un texte sur un blogue qui répond franchement et clairement à mon questionnement.
Je pense que c'est bien ramassé et fait le tour de la question. Merci M Erasmus

La crise

Voici le bilan de mon ami Claude :
dont voici l'adresse du blog http://lanoraye.42blog.com/

Avec cette crise, tout le monde souffre
Les problèmes des boulangers sont croissants
Alors que les bouchers veulent défendre leur steak
Les éleveurs de volailles se font plumer
Et en ont assez d'être les dindons de la farce
Les éleveurs de chiens sont aux abois
Les pêcheurs haussent le ton
Les céréaliculteurs sont sur la paille
Alors que les brasseurs sont sous pression
Les viticulteurs trinquent
Heureusement, les électriciens résistent
Mais pour les couvreurs, c'est la tuile
Certains plombiers en ont ras-le-bol
Et les autres prennent la fuite
Chez GM les salariés débrayent
Et la direction fait marche arrière
À l' Hydro les syndicats sont sous tension
Mais Vandal ne semble pas au courant
Les cheminots voulaient garder leur train de vie
Mais la crise est arrivée sans crier gare
Les veilleurs de nuit vivent au jour le jour
Et les carillonneurs ont le bourdon
Les ambulanciers ruent dans les brancards
Pendant que les pédicures travaillent d'arrache-pied
Les croupiers jouent le tout pour le tout
Les cordonniers sont mis à pied
Les dessinateurs font grise mine
Les exterminateurs ont le cafard
Des militaires partent en retraite
Et les policiers se sont arrêtés
Les imprimeurs dépriment
Les météorologues sont en dépression
Les funambules sont sur la corde raide
Les prostituées se retrouvent sur le trottoir
C'est vraiment une mauvaise passe....

jeudi 3 décembre 2009

LA grippe


Voici l'avis d'un Md en qui j'ai confiance, à propos du vaccin:
Sachez que, quelle que soit votre décision, la probabilité que vous soyez confronté à des conséquences graves liées à un mauvais choix est infime.

Bon à savoir

mercredi 2 décembre 2009

Qu'est-ce qu'on attend.......( voir la chanson)

Une dette providentielle...

Grâce à des injections plantureuses d’argent public, les banques ont retrouvé leurs couleurs. Elles émergent même de la crise financière plus grosses et plus puissantes qu’avant. Et donc plus susceptibles encore de prendre les Etats « en otage » lors de la prochaine tempête. C’est le moment que les gouvernements occidentaux et les banques centrales ont choisi pour sonner à nouveau le tocsin contre la dette.

Astucieusement mis entre parenthèses tant qu’il fallait débourser des montants dépassant l’entendement pour sauver Goldman Sachs, la Deutsche Bank ou BNP Paribas, le spectre de la faillite resurgit afin, cette fois, de hâter l’invasion des logiques de rentabilité commerciale dans des activités qui en étaient préservées (lire « Comment vendre à la découpe le service public »). Alourdi par la panne économique, le poids de l’endettement sert une fois de plus de prétexte au démantèlement de la protection sociale et des services publics. On prédisait, il y a un an, le coma des libéraux ; ils trouvent dans l’annonce répétée que « les caisses sont vides » l’instrument de leur résurrection politique.

Ils ne vont pas ralentir l’allure. La nouvelle coalition au pouvoir à Berlin a promis 24 milliards d’euros supplémentaires d’allégements d’impôts, alors que le déficit allemand atteindra déjà près de 6,5 % du produit intérieur brut l’an prochain (plus de deux fois le taux maximum autorisé par le pacte de stabilité et de croissance de l’Union européenne). Les conservateurs britanniques se sont engagés à diminuer l’impôt sur les sociétés. Et, en France, depuis l’élection de M. Nicolas Sarkozy, la droite a successivement supprimé l’imposition des heures supplémentaires, dressé un « bouclier fiscal » autour des revenus du capital, réduit les droits de succession et décidé d’éliminer la taxe professionnelle acquittée par les entreprises.

Jadis, les conservateurs se montraient soucieux de comptes en équilibre, au point de consentir à des hausses d’impôts. Depuis près de trente ans, au contraire, les déficits publics sont leur création consciente, destinée à paralyser les velléités d’intervention de la collectivité. Une pratique laxiste, qui ampute les recettes, se double d’un discours catastrophiste permettant de refouler les dépenses de l’Etat-providence.

« Reagan a prouvé que les déficits ne comptaient pas », répliqua en 2002 le vice-président américain Richard Cheney à son ministre des finances qu’inquiétait une nouvelle baisse des impôts directs. M. Cheney entendait par là que les déficits ne nuisent pas forcément à celui qui les décide, puisque Ronald Reagan fut largement réélu en 1984 après avoir triplé ceux-ci au cours de son premier mandat. Mais la contrainte budgétaire pèse plus lourd sur les successeurs, surtout quand on les soupçonne d’être prodigues au seul motif qu’ils ne sont pas de droite... Ainsi, pour avoir la moindre chance de faire adopter sa réforme du système de santé, M. Barack Obama a dû préalablement s’engager à ce qu’elle n’ajoute pas un cent au niveau de la dette publique. Quand, au juste, fixe-t-on ce genre de condition aux aventures militaires ?

En divisant par trois le montant de la TVA reversée par les cafetiers et restaurateurs, le gouvernement français a récemment sacrifié 2,4 milliards d’euros de recettes. Quelques semaines plus tard, au prétexte d’« équité », il a récupéré 150 millions d’euros en fiscalisant les indemnités journalières versées aux victimes d’un accident du travail. Bien qu’il montre d’excellentes dispositions en la matière, il lui reste du chemin à faire avant d’égaler Reagan. Car l’ancien président rendit beaucoup plus doux les impôts des plus riches, puis, parce qu’il fallait réduire les déficits (qu’il venait de creuser), il demanda aux cantines scolaires de comptabiliser le ketchup comme un légume, lorsqu’elles apprécieraient la valeur nutritionnelle des repas qu’elles servaient aux élèves...

C’est en Californie, l’Etat dont Reagan fut gouverneur, que démarra en 1978 la contre-révolution fiscale qui ensuite balaya le monde. Là-bas, les caisses sont aujourd’hui tout à fait vides (le déficit, chronique depuis une décennie, y atteint 26 milliards de dollars). Jeudi 19 novembre dernier, l’université publique a donc relevé ses droits d’inscription de 32 %. Précédemment, elle venait de supprimer deux mille emplois.

Serge Halimi.

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mardi 1 décembre 2009

Afrique et +

Voici un petit film qui résume pourquoi je m'intéresse à la politique . Il est en anglais mais facile à comprendre.