mercredi 18 mai 2011

Strauss Kann


Depuis quelques jours , on parle abondamment de Strauss Kann.......Le côté politique de l'affaire m'intéressait mais sans plus...
Mais je viens de lire autre chose, qui me semble pertinent sur un autre site.........Je vous laisse le plaisir de découvrir quoi ( pas des petites culottes ) Comme quoi, on a parfois tord de se fier à sa première impression. Surtout quand elle est calquée sur celle des médiats.........
Et j'ajoute un message de la femme de Strauss Kann

Si je m’en sors ? Non je ne m’en sors pas… vous permettez… mais je suis émue…
Si je me laisse aller, je crois que je suis capable de noyer, la terre entière, juste avec quelques larmes…
Mais j’ai comme l’impression que je ne suis pas la seule à ressentir d’étranges secousses, comme les vibrations d’une comète qui s’apprête à exploser.
Et pourtant, je prétendais être à l’abri de toute superstition…
Et voilà que tout se met à vaciller...
Le père de mes enfants… avec les menottes aux poignets… l’image est gravée à tout jamais, dans toutes les mémoires parce qu’elle en dit long sur cette chienne de vie !
Rassurez-vous, j’avais déjà un vague pressentiment… je le sentais… je le présentais…. Entre la fortune et l’infortune, on peut à peine glisser une feuille de papier.
Les plus proches exerçaient sur nous, depuis quelques temps déjà, une sorte de pression sous prétexte qu’il y avait des échéances à respecter… Alors qu’il était écrit quelque part, que nous étions à deux pas de la pire des déchéances…
Non… je ne rêve pas, je n’ai pas rêvé… je n’ai jamais rêvé… d’une nation qui confond justice et religion…
Non, je ne m’incline pas devant l’Amérique, et je lui promets de débarrasser le plancher à tout jamais… en laissant cette putain aux puritains !
Je demande pardon à mes enfants d’avoir épousé l’homme le plus en vie et le plus envié…
On pourrait en effet tout lui ôter… Sauf sa majesté…
Un petit plus qu’aucun homme digne de ce nom, ne pourrait lui contester.
Je t’aime DSK et depuis qu’on t’a enlevé j’ai réalisé qu’il n’y aura pas de vie après toi…
Ils ne te relâcheront plus… mon amour… parce que tu es malade… et parce qu’ils sont encore plus malades… Je t’aime…

http://www.lejournaldepersonne.com/2011/05/ask-anne-strauss-kahn/

1 commentaire:

lejournaldepersonne a dit...

Ask Story
Il était une fois un Roi… qui après avoir atteint le sommet de la gloire et de la prospérité, prit la décision de flirter avec la félicité en mariant le même jour ses sept héritiers pour bénir les dieux qui lui offrirent toute sa gracieuse majesté.
Et pour célébrer ces divines noces, il convia les plus grands poètes de tous les temps pour lui réciter les plus beaux vers de l’univers…
L’un d’eux provoqua l’indignation, en maudissant le temps au lieu de louer le présent !
Ses mots, nul ne les a oubliés et personne ne se risquera à les restituer…
« Rien qui vaille la peine qu’on y perde la tête… puisque l’homme s’y retrouve moins dans la victoire que dans la défaite. »
Il fut injurié, jugé et condamné à perpétuité parce que sa majesté s’est sentie offensée…

Sept ans plus tard, lors d’une bataille sanglante, le Roi perdit en une seule nuit, ses sept royaumes, ses sept héritiers et ses sept raisons de vivre et d’espérer.
Juste avant de rendre l’âme, il s’est souvenu de cet oiseau de mauvais augure qui lui avait prédit le pire pour son empire… il décida de le rappeler pour déverser sur lui ses derniers soupirs. Et quand il fut à son chevet, le vieillard ne put s’empêcher de lui murmurer à l’oreille :
« Rien qui vaille la peine qu’on y perde la tête… puisque l’homme s’y retrouve moins dans la victoire que dans la défaite. » b

http://www.lejournaldepersonne.com/2011/05/ask-story/